Le texte de présentation laisse un peu à désirer, mais il ravira les hannetons en voie de disparition qui se piquent d'orthographe :
On pense souvent à John Zorn comme à un saxophoniste de jazz féru de musique juive mais l'avant-gardiste fondateur du label Tzadik maîtrise à peu près tous les instruments à hanche et se méfient des étiquettes comme de la peste.
(Cet incipit comporte quelques liens, sur John Zorn, musique juive et sur Tzadik, mais pas sur « hanche », qui aurait peut-être mérité de renvoyer au duo Karina-Belmondo dans Pierrot le Fou - Jean-Luc Godard, 1965.)
Quant à prétendre, après minime correction, que John Zorn « maîtrise à peu près tous les instruments à anche », cela peut être un effet ravageur de l’enthousiasme qu'il suscite. John Zorn peut maîtriser ce qu'il peut et/ou veut dans le privé, mais sur scène je ne l'ai vu, pour l'instant, qu'aux prises avec un saxophone alto...)
- Abraxas : Eyal Maoz (guitare), Aram Bajakian (guitare), Shanir Blumenkranz (gimbri), Kenny Grohowski (batterie)
- Aleph Trio : John Zorn (saxophone), Shanir Blumenkranz (basse), Ches Smith (batterie)
- Secret Chiefs 3 : Trey Spruance (guitare baryton, claviers), Gyan Riley (guitare), Timba Harris (violon, viole, trompette), Matt Lebofsky (claviers), Toby Driver (contrebasse), Ches Smith (batterie), April Centrone (percussions)
Et tout le monde, dans les dix dernières minutes de la vidéo, pour le premier encore...
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